About the Author: James Bèyor
M. Beyor a voyagé à travers le monde, en tenant des centaines de journaux d’analyse quant à la condition humaine. De ceux qui le connaissent, certains pourraient dire qu’il est un homme extraordinaire, car il s’acharne à poser les questions qui semblent désespérées et que beaucoup éludent. Des questions qui semblent compliquées de prime abord, mais qui plus tard se révèlent aisément en valoir la peine et même évidentes selon qu’elles sont conçues via les bonnes perspectives et le bon endroit. La vérité vivante doit commencer et finir avec le sentiment que nous possédons tous le savoir à l’intérieur de nos codes bio-énergétiques. Notre courant bio-énergétique réveillé. Les tyrans qui sont aux pouvoirs ont peur de ce réveil. Néanmoins, ça se passe ici, MAINTENANT. Nous devons le partager dans le monde entier, et nous le pouvons.
Son premier livre, Réciprocité dans le Paradoxe : exploiter les artéfacts du subconscient, a été publié en 1997 au moment de l’apogée du dernier boom économique de l’humanité, une période très triste dans le temps linéaire, où il a découvert que les lecteurs étaient moins enclins que jamais à regarder à l’intérieur d’eux-même. La graine du dysfonctionnement des sens biologiques devenait très apparente au fur et à mesure que les choses “paraissaient belles” de l’extérieur ; mais elles pourrissaient à l’intérieur, résultat d’une haine de soi-même latente. Mais POURQUOI ?
La trilogie des Coeurs Prudents est publiée au moment où l’économie et la société mondiales s’affaiblissent. Les gens s’assoient et prennent connaissance des messages et observations de M.Beyor. Les écrits de cet hôte talentueux sont choquants et pourraient très bien servir de mise en garde sociale conduire la prochaine génération d’êtres humains à plus de bien-être personnel et à un re-développement social. Ses questions sont percutantes, et même tranchantes, viennent du coeur, sont sincères et étrangement sages. “Il est dans notre nature biologique de connaissance directe des sentiments de nous demander POURQUOI nous sommes comme nous sommes quand nos peurs artificielles, notre base informatique de savoirs symbolique, n’auraient jamais dû être autorisées à être un tout, ou que rien n’a autorisé l’ennemi social iconique”
L’Abîme est le troisième livre de M. Beyor et le second de la trilogie Les Coeurs Prudents, suivant le premier journal de la série, Sabotage de la genèse. Le troisième livre de la série : Contrat avec le Paradis et l’Enfer sortira bientôt. Restez attentif. Procurez-vous les trois.
M. Beyor marche dans les pas de grands penseurs comme Emmanuel Kant, Ayn Rand, Henry Ford, William Blake, Albert Einstein, Wilhelm Reich, Spinoza et Bruce Lipton. M. Beyor est un des nombreux hommes de son temps, qui sont sérieux, dévoués, poussant à la réflexion, cherchant les racines de ce mal sociétal systémique biologiquement ancré en nous depuis bien longtemps, quand d’autres perdent leur vie précieuse à se battre contre des moulins à vent.
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les êtres humains ne peuvent s’empêcher d’être d’accord ? Cela fait-il partie de la nature humaine que de se rassembler en groupes de personnes partageant les mêmes idées et de nous isoler des gens aux opinions contraires ? Pourquoi ressentons-nous le besoin de dire que nous sommes bons ou que nous avons raison, croyant que nous seuls détenons la vérité, tout en définissant ce qui ne pense pas comme nous comme mauvais ou ayant tort ? Est-il possible que notre propension à être d’accord soit un mécanisme de contrôle créé par l’homme, et trouvant ses racines dans la peur ?
James Beyor montre dans L’Abîme, le second tome de sa trilogie Les Cœurs Prudents, que nous vivons des temps dangereux, où être d’accord nous cause de grandes souffrances mentales et biologiques. L’espèce humaine souffre de décrépitude bio-mentale. Nous avons été leurrés et amenés à ne vivre qu’un ersatz de ce que la vie humaine pourrait potentiellement être.
Beyor attire l’attention sur un besoin urgent auquel nous devons tous répondre, qui si nous ne le faisons pas mènera à une autre période d’inquisition bien plus démentielle et destructrice que celles dont les hommes ont déjà eu à souffrir par le passé. Cette inquisition nécessitera une obédience séculière telle que définie par un gouvernement hors de contrôle. Il attire aussi l’attention sur plusieurs éléments fondamentaux qui annoncent des atrocités sans précédent infligées aux humains mentalement et biologiquement.
Ceci n’est une histoire de plus à propose de jugement dernier ; c’est un message d’espoir, que nous puissions, en agissant maintenant, rétablir la construction de notre sens du savoir interne inné et commencer à vivre une vie authentique.
Les citoyens du monde regardent sans ne rien pouvoir y faire nos institutions vacillées dans leur insatiable quête de dominance de la race humaine. Nous devons réclamer une clarté individuelle et nous affranchir de notre dépendance aux accords en matière de symboles et de mots.
Dans les journaux de Bayor, vous vous retrouverez confronté à vous-même et prendrez conscience de votre propre clarté inné ; un cadeau de bienvenue accessible à tous ceux qui ont le courage de rejoindre le grand réveil, qui réclame leur droit à vivre dans la réalité. Jamais plus vous ne vous demanderez ce qui peut être à l’origine de vos succès et défaites.